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La bande fait des arrêts pour étancher sa soif (en chapelle) mais aussi pour participer au célèbre jet de harengs du haut de la mairie.

 En chapelle 

 Le jet de « z’harengs »

Rendez-vous incontournable de la bande, le lancer municipal se pratique sur le parcours, quand les masquelours passent à proximité de la mairie. Ils se rassemblent alors sous le balcon ou les fenêtres de l’édifice, attendent que le maire et ses invités leur lancent des harengs (la tradition de la plupart des bandes) ou d’autres trophées (du fromage et des saucisses à Bergues, des violettes à Malo...). La bousculade provoquée est proportionnelle à la foule amassée.  

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Pendant les bandes, les habitants des quartiers concernés ouvrent leurs portes aux carnavaleux qu’ils connaissent, qui boivent et mangent en costume avant de rejoindre la bande. Certains font chapelle avant ou après la bande, tout dépend souvent d'où se situe leur logement par rapport au parcours.


On y trouve souvent de la bière, du punch ou du genièvre, de la soupe à l'oignon, des harengs, du podingue, du pot’jevleeche, et de la musique, pour une ambiance très conviviale. Évidemment, les masquelours qui allient respect, sens de la fête et goût pour le chant sont les plus conviés.


Il existe aussi des chapelles de plus grande ampleur, organisées par les associations, voire par la municipalité ou des institutions de la ville ou du quartier. Quelques-unes sont publiques, les autres fonctionnent sur invitation. 

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